Avec le t\u00e9l\u00e9travail, l\u2019utilisation d\u2019outils de visioconf\u00e9rences s\u2019est acc\u00e9l\u00e9r\u00e9e. Ces r\u00e9unions \u00e0 distance peuvent \u00eatre l\u2019occasion de discuter de sujets sensibles (R&D, restructuration, strat\u00e9gie\u2026) ou de rencontrer des acteurs externes (n\u00e9gociations, partenariats\u2026). Pourtant, dans ce cadre, les entreprises n\u2019utilisent pas toujours des applications prot\u00e9g\u00e9es, comme des messageries instantan\u00e9es ou des outils de partage de documents. Cependant, ces outils pr\u00e9sentent des failles de s\u00e9curit\u00e9 qui peuvent entra\u00eener la captation de donn\u00e9es confidentielles.<\/p>\n
Dans son dernier Flash ing\u00e9rence, la Direction g\u00e9n\u00e9rale des services int\u00e9rieurs\u00a0(DGSI) expose plusieurs exemples de situation \u00e0 risques auxquelles les entreprises peuvent \u00eatre expos\u00e9es dans ce cadre (un salari\u00e9 qui d\u00e9sactive sa cam\u00e9ra et d\u00e9clenche l\u2019enregistrement audio de la r\u00e9union, l\u2019identit\u00e9 de participants non contr\u00f4l\u00e9e\u2026). Puis, elle livre plusieurs pr\u00e9conisations, \u00e0 la fois en mati\u00e8re de protection \u00e9conomique et de s\u00e9curit\u00e9 informatique, mais aussi dans le cadre de r\u00e9unions avec des acteurs \u00e9trangers, comme utiliser le chiffrement ou encore recueillir des informations sur les participants en amont.<\/p>\n